Edition 2025

21ème Plateforme Francophone des Agglomérations

Programme

Vulnérabilités sociales, spatiales et environnementales

Comment la notion de transition requestionne les inégalités sociales, spatiales et environnementales de nos agglomérations urbaines, et vice-versa ?

Évènement organisé en partenariat avec la Ville de Montréal et la Chaire internationale sur les usages et pratiques de la ville intelligente

Évènement également supporté par le regroupement stratégique Villes Régions Monde ainsi que par le vice-décanat à la recherche et le département d’études urbaines et touristiques de l’École des sciences de la gestion de l’Université du Québec à Montréal

Du 9 au 12 juin 2025, la 21e Plateforme francophone des agglomérations réunira à Montréal plusieurs dizaines de participants des milieux universitaire (chercheurs, étudiants des cycles supérieurs), professionnel (cadres et professionnels municipaux ou gouvernementaux, représentants d’association) et politique (élus municipaux) autour des questions entourant l’aménagement des villes et les notions de transition, d’équité et de vulnérabilité. Ces participants proviendront des territoires partenaires, soit de la Belgique, de la France, de la Suisse, du Luxembourg et du Québec.

Depuis 2002, la Plateforme se réunit à chaque année pour discuter de certains enjeux touchant les moyennes et grandes agglomérations. Elle visite successivement chacun des territoires partenaires. Chaque rencontre, d’une durée moyenne de 2 jours et demi (davantage lorsque la Plateforme se déroule au Québec afin de favoriser les activités de réseautage entre canadiens et européens), est l’occasion d’échanger sur certains défis de l’agglomération visitée et d’enrichir ces échanges par des présentations illustrant des cas similaires à l’étranger. Chaque rencontre permet de mettre en relation des réflexions issues de la pratique avec des réflexions de nature plus scientifique. L’objectif principal est de contribuer à l’amélioration des outils d’aide à la décision, au transfert des connaissances, voire à leur coconstruction, et à la formulation de nouveaux sujets de recherche.

Le « noyau dur » de cette Plateforme est actuellement composée : pour la Belgique, d’Alain Malherbe, coordinateur de recherche et professeur à l’Université Catholique Louvain; pour la France, d’Annette Groux et de Marc Dumont, professeurs à l’Institut d’aménagement, d’urbanisme et de géographie de l’Université de Lille ainsi que de Lionel Martins, chargé de mission au ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires; pour le Luxembourg, de Frédéric Durand, chercheur au Luxembourg Institute of Socio-Economic Research; pour la Suisse, de Florent Joerin, professeur à la Haute école spécialisée de Suisse occidentale et à la Haute école d’ingénierie et de gestion du Canton de Vaud, directeur de l’Institut d’ingénierie du territoire; et, pour le Québec, de Michel Rochefort (moi- même), professeur, au département d’études urbaines et touristiques de l’Université du Québec à Montréal. Ce « noyau dur » agit en tant que comité scientifique.

Objectif général et objectifs particuliers de la Plateforme 2025

La problématique abordée cette année s’inscrit dans le cycle thématique inauguré en 2021 et s’intitulant

« Les agglomérations en transition ». Cette transition doit être entendue à la fois comme un moment/espace entre deux états et comme une action visant à « aller au-delà » en matière énergétique, démographique et démocratique (Chabot, 2015). Trois rencontres ont d’ores et déjà eu lieu sur l’un des aspects de cette thématique, soit à Bruxelles (2022) sur les enjeux de densité, à Lille (2023) sur les enjeux de mobilité et à Lausanne (2024) sur les enjeux de la participation.

Les transitions sont devenues une priorité dans le développement des territoires. Chaque pays, région ou agglomération l’évoque dans l’un ou l’autre de ses documents relatifs au développement et à l’aménagement de son territoire qu’ils soient stratégiques, normatifs ou opérationnels. Audet (2014) distingue deux exploitations sémantiques du terme de transition : un discours managérial techno-centré basé sur les innovations technologiques et environnementales et un récit radical ethno-centré porté par Rob Hopkins dont l’approche partant du local, échelle de transformations sociétales profondes selon cette hypothèse, inspire de nombreuses politiques urbaines au travers notamment du mouvement Ville en transition. Cette dernière approche qui s’appuie sur la résilience des systèmes

pour atteindre un développement limitant fortement l’empreinte carbone des activités humaines influence de nombreuses politiques urbaines. Toutefois, de plus en plus, ces politiques dépassent cet aspect et intègrent de nouveaux enjeux. Chabot (2015) va jusqu’à élargir le concept de transition aux transitions démographiques et démocratiques. Il comprend la transition comme un interstice, un passage ou une métamorphose pour « aller au-delà ». Pour Chabot, la transition démographique est, par exemple, le passage d’une société à taux de natalité et de mortalité élevés à une société à taux de natalité et de mortalité faibles. Ces diverses transitions s’appliquent différemment en fonction des dynamiques et des priorités des territoires et nécessitent de nouvelles formes de coopération regroupant plusieurs parties prenantes. Elles recouvrent le système urbain dans toutes ses composantes (sociales, économiques, énergétiques, résidentielles, de mobilité, environnementales, alimentaires, culturelles, etc.) et réorientent la manière d’aménager le territoire en reconnaissant, par exemple, le sol comme une ressource limitée avec pour objectif de restreindre, voire d’arrêter, son artificialisation.

Constatant que les actions mises en place en matière de transition mettent en lumière ou révèlent des inégalités sociales et territoriales au sein des villes, la Plateforme 2025 abordera la question de leur prise en compte afin de rendre acceptable au plus grand nombre les changements qui doivent s’opérer dans nos sociétés urbanisées, et ce, afin de veiller à ce qu’aucun citoyen ou aucun territoire ne soit laissé de côté. Si on isole uniquement les aspects entourant les politiques climatiques, plusieurs chercheurs s’inquiètent d’ores et déjà de la reproduction et de l’exacerbation des inégalités qu’elles induisent (Long et Rice 2019, Taylor 2014). À titre d’exemple, plusieurs solutions d’adaptation seraient perçues comme favorisant ou défavorisant certaines populations et territoires (Després 2021, Shi et al. 2016). Vu ainsi, les conséquences des aléas climatiques s’ajouteraient aux inégalités socio- économiques ou aux précarités préexistantes, entre autres, dans le logement, les conditions de vie, les services de proximité et les infrastructures de mobilité ou de salubrité. Il en serait ainsi pour les autres aspects entourant la transition écologique. Les dimensions sociales et territoriales de la transition écologique seraient impérativement à prendre en compte. Or, si les inégalités ou vulnérabilités sociales et territoriales ont souvent été perçues ou étudiées dans une logique de rapport Nord/Sud où les pays du Nord ont historiquement exploité et utilisé les ressources des pays du Sud tandis que ces derniers subissent davantage les dégâts environnementaux (Anguelovski et al., 2016), elles se retrouvent également à d’autres échelles spatiales, notamment au sein des villes. En effet, rappelons que « par leur densité accrue, les villes rendent les différences, les concurrences, les inégalités et les solidarités plus visibles, et plus proches. Elles sont donc un observatoire privilégié des inégalités et de leur déploiement dans les sociétés humaines […] certaines propriétés urbaines comme la ségrégation sociospatiale font aussi des villes des amplificateurs d’inégalités, au travers notamment des effets de lieu ou de quartier (Cottineau et Pumain, 2022 (pour la citation), mais également Secchi, 2015). À titre d’exemple, le fonds pour une transition juste, instrument financier important faisant partie du Green Deal européen (Union européenne, règlement 2021/1056), inscrit comme priorité de mettre en place un processus de transition équitable. Les objectifs de ce fonds sont de ne pas aggraver les inégalités territoriales en modérant les effets de la transition, en finançant la diversification et la modernisation de l’économie locale, et en atténuant les répercussions négatives sur l’emploi. Par ce fonds, la Commission européenne promeut également des régimes de transition qui garantissent une adaptation équitable aux changements climatiques, notamment par l’adoption d’orientations en vue d’une transition équitable vers la neutralité climatique (Idem).

Notons également que la transition écologique n’est pas seulement une affaire de changement de comportement, d’adaptation de nos modes de production et de consommation, mais aussi une nouvelle manière de fabriquer ou de gérer la ville. Par conséquent, les questions de justice sociale et de justice spatiale doivent être au cœur de la démarche et les décideurs publics doivent veiller à ce qu’aucun citoyen ou aucun territoire ne soit laissé de côté. En effet, pour qu’une transition écologique soit soutenable, celle-ci doit « permettre de dresser collectivement une méthode et les modalités opérationnelles de son juste accomplissement, en vue d’une évolution d’ensemble de notre cadre de vie », ce qui rend la notion de cohésion sociale incontournable (CNLE, 2024). Qui plus est, « la dimension sociale de la transition doit être pleinement intégrée à la gouvernance de la planification, notamment par une meilleure prise en compte des territoires et des collectivités, à qui échoit la mise en œuvre des politiques sociales, ainsi que de la participation des personnes en situation d’exclusion sociale, de pauvreté et de précarité […] » (Idem).

L’objectif général de la Plateforme 2025 est d’aborder ces différentes notions de façon à répondre à cette question principale : Comment la notion de transition requestionne les inégalités sociales, spatiales et environnementales de nos agglomérations urbaines, et vice-versa ? Pour ce faire, deux objectifs particuliers, correspondant à deux enjeux urbains distincts, ont été mis en exergue. D’une part, dans ce contexte, un des premiers enjeux pour les villes est d’identifier les inégalités sociales et territoriales se traduisant par de plus grandes vulnérabilités aux différents risques, dont ceux associés aux changements climatiques. Différentes questions peuvent alors se poser dont « Comment, au sein des villes, les inégalités sont identifiées, appréhendées, analysées ? » et « Quelles conclusions ou enseignements en sont tirés ? ». Un autre enjeu concerne les solutions envisagées et les expériences tentées pour faire face à ces inégalités ou vulnérabilités. Peuvent alors être soulevées les questions suivantes : « Quelles sont les différentes démarches mises en place par les villes ? et « Comment procèdent-elles concrètement (méthode, objectifs…) ? ». À travers ce deuxième enjeu, sont notamment questionnées les notions de justice distributive (distribution inégale des bénéfices et des vulnérabilités), de justice procédurale (opportunité inégale de participer aux choix des politiques et des actions entreprises) et de reconnaissance (légitimité de la diversité des savoirs et des expériences des personnes touchées). Ces deux enjeux seront notamment au centre des échanges tenus à Montréal.

Le choix de ce thème pour la Plateforme 2025 se justifie par les efforts mis en place par Montréal aux cours des dernières années pour mettre en œuvre des outils innovants touchant directement les deux enjeux identifiés au paragraphe précédent. À titre d’exemples, nommons l’indice d’équité des milieux de vie, la carte interactive des vulnérabilités aux aléas climatiques et l’approche « Quartiers inclusifs et résilients ». Ces enjeux s’avèrent d’actualité puisque, comme le confirment les dernières données rendues publiques (Fondation du Grand Montréal et Vivre en Ville, 2024), les populations défavorisées vivent également dans les milieux les plus exposées aux vulnérabilités. Des milieux de vie où l’accès au transport collectif, aux services de proximité, aux espaces verts sont notamment déficients ou inexistants. En contrepartie, plus on est riche, plus on consomme, plus on émet de gaz à effet de serre et plus on possède les outils nécessaires pour choisir un mode de vie différent en faveur de la transition écologique. Des observations similaires s’observent dans plusieurs villes canadiennes dont Toronto et Vancouver (Toronto Foundation, 2024; Armitage et al., 2023).

Programme

Organisée en partenariat avec la Ville de Montréal et la Chaire internationale sur les usages et pratiques de la ville intelligente, la Plateforme 2025 se déroulera comme suit :

Lundi 9 juin

Accueil des participants à la Plateforme, présentation du nouveau Plan d’urbanisme et de mobilité de la ville de Montréal et de la démarche « Quartiers inclusifs et résilients » (QIR) suivie d’une visite de terrain et d’un échange avec certains citoyens et groupes communautaires engagés dans cette démarche. Cette journée se terminera par une activité de réseautage entre les cinq territoires de la Plateforme afin de favoriser la création de liens d’échange.

11h00 : Présentation du nouveau plan d’urbanisme et de mobilité (PUM) de la Ville de Montréal

  • Louis-Henri Bourque et Caroline Lépine (à confirmer) Lieu : Salle (Ville de Montréal)

12h00 : Lunch

13h30 : Présentation du projet Lachine Est et du QIR Saint-Pierre

  • SUM + arrondissement + milieu

14h15 : Visite de terrain

15h30 : Rencontre avec certains acteurs du quartier

16h30 : Activité informelle de réseautage

Mardi 10 juin

Journée de présentations locales et internationales autour des thèmes de transition, de vulnérabilités, d’inégalités et d’équité. En plus des participants de la Plateforme (à savoir ceux et celles qui seront là pour les 4 jours), une invitation sera faite aux professionnels des villes environnantes ainsi qu’aux étudiants de 2e et 3e cycles des institutions universitaires liées au regroupement stratégique Villes Régions Monde afin d’assister aux présentations et prendre part aux échanges. Cette journée sera également suivie d’une activité de réseautage regroupant l’ensemble des participants de cette journée afin de favoriser les échanges et les partenariats potentiels entre chercheurs, praticiens et étudiants.

08h30 : Arrivée des participants

Lieu : Chaufferie du Cœur des sciences (UQAM)

09h00 : Mot de bienvenue 9h15 : Conférence de départ

  • Transition écologique : dépasser ou accentuer les inégalité́ sociales ? France : Nicolas Duvoux (à confirmer, en virtuel)

09h50 : Bloc 1 – Identifier les inégalités et les vulnérabilités

  • L’indice d’équité des milieux de vie. Québec : Victoria Gay-Cauvin, Ville de Montréal
  • L’analyse spatiale des disparités socio-économiques au Luxembourg Luxembourg : Robert Wealer
  • La transition énergétique et l’accès au logement locatif Belgique : Yves Van de Castelle

10h50 : Pause

11h10 : Bloc 2 – Récits et enjeux

  • La place de l’équité et de l’inclusion dans les récits des futurs désirables. France : Sarah Mussol et Pauline Folcher
  • La place des enjeux sociaux dans les politiques climatiques suisses – réflexions à partir de l’exemple fribourgeois. Suisse : Melinda Zufferey-Merminod
  • La participation citoyenne comme levier pour s’adapter aux changements climatiques : les résultats du projet TRAP (transition écologique et participation) Suisse : Victor Zuccone

12h15 : Lunch

14h00 : Bloc 3 – Projets et expérimentations

  • Transition écologique des territoires populaires hors métropole : retours d’expériences dans les villes françaises. France : Marc Dumont
  • TRANSITER, un outil d’aide à la décision politique en matière de transition écologique. Luxembourg : Frédéric Durand
  • Expérimentation d’un Living Lab en santé durable. Suisse : Florent Joerin

15h00 : Pause 15h15 : (suite)

  • L’atténuation des vulnérabilités socio-environnementales urbaines à partir de la santé de sols. Belgique : Alain Malherbe, Bertrand Ippersiel
  • Mettre en œuvre la transition écologique et solidaire dans les quartiers populaires : les leviers de l’urbanisme transitoire. France : Vassili Duverly
  • Paroles d’ainés sur le fait de vieillir à Montréal et à Montpellier : confronter les approches contemporaines en vogue. Québec : Nicolas Merveille et Sirine Al Gandouzi

16h30 : Cocktail d’échange et de réseautage

Mercredi 11 juin

Le matin, un atelier de cocréation de connaissances se limitant aux participants de la Plateforme aura lieu afin d’aborder certains aspects jugés plus opérationnels, politiques ou sensibles en lien avec les notions abordées la journée précédente. En après-midi, une invitation a été faite à la Chaire internationale sur les usages et pratiques de la ville intelligente (Université du Québec à Montréal – École des sciences de la gestion) pour venir présenter certaines recherches s’inscrivant dans le thème de la Plateforme 2025. En soirée, cette Chaire profitera également de l’occasion pour procéder à un lancement de livre (activité non financée par cette demande de subvention).

09h00 : Arrivée des participants

Lieu : Esplanade tranquille

09h15 : Présentation de l’activité « Construire ensemble »

10h30 : Résultats et comparaison (avec ce qui a été fait à l’interne, notamment)

11h00 : Présentation détaillée de l’approche QIR et des autres outils en matière d’équité mis en place par le service d’urbanisme et de la mobilité

  • Lucie Careau

11h45 : Lunch

Conférence en lien avec les 10 ans de la Chaire internationale sur les usages et pratiques de la Ville intelligente (ESG UQAM)

13h15 : Mots de bienvenue

  • Florence Paulhiac (Québec) et Gilles N’Goala (France)

13h30 : Panel d’ouverture – La ville de demain : visions, savoirs et actions

  • Julie Medam (SEPSI) : animation
  • Pascal Lacasse (Montréal) : Quelle recherche utile pour quelle action ?
  • Sophie Paquin (UQAM) : Planifier pour qui ? – Un apport de la recherche
  • Fabien Durif (UQAM) : Exposition universelle d’Osaka : quelles tendances ?
  • Florence Paulhiac (UQAM) : La BD – La ville à portée de main

14h30 : Pause 14h45 : Mobilité

  • Gratuité des transports et perception d’équité par les usagers : le cas de la ville de Montpellier. France : Younès Bouragha
  • Projet Bonaventure : étude de la perception sensorielle de la forme urbaine en contexte fonctionnaliste et post-fonctionnaliste. Québec : Guillaume Éthier

15h35- Pause

15h50 : Tourisme

  • L’acceptabilité sociale de l’innovation technologique dans le contexte touristique : quelles conditions et conséquences ? France : Gilles N’Goala et Julie Jammes

16h20 : Alimentation

  • L’accessibilité alimentaire entre perceptions et réalité objective. France : Karine Garcia
  • L’idée de quartier alimentaire local : caractéristiques, exemples, balises scientifiques. Québec : Nicolas Lavoie

17h00 : Pause

17h30 : Lancement de livre : Ville intelligente ou vies intelligente

  • Panel de lecteurs animé par Marc-André Carignan

18h15 : Cocktail d’échange et de réseautage

Jeudi 12 juin

Journée permettant, en avant-midi, au « noyau dur » de la Plateforme qui agit en tant que comité scientifique, de revenir sur les trois premiers jours et d’échanger sur l’organisation de la rencontre de 2026 qui devrait se dérouler au Luxembourg. En après-midi, des rencontres en groupe restrient sont prévues afin de poursuivre les échanges sur certaines thématiques plus ciblées.

09h30 : Débriefing du comité organisateur des rencontres de la Plateforme francophone des agglomérations

12h00 : Lunch (libre)

14h00 : Rencontre ciblée sur la notion de qualité des sols 15h30 : Autre rencontre ciblée

Synthèse de la 21ème Plateforme Francophone des Agglomérations

             A venir

Cette Plateforme est organisé avec la concours des coordonateurs nationaux de la Plateforme Francophone des Agglomérations

pour la Belgique :

  • Yves Hanin, professeur, Université Catholique de Louvain et directeur du Centre de recherches et d’études pour l’action territoriale
  • Alain Malherbe, coordinateur de recherche et chargé de cours, Université Catholique Louvain

pour la France :

  • Marc Dumont, professeur, Institut d’Aménagement, d’Urbanisme et de Géographie de Lille, Université de Lille
  • Annette Groux, professeure, Institut d’Aménagement, d’Urbanisme et de Géographie de Lille, Université de Lille
  • Lionel Martins, chargé de mission,  Ministère de la Transition Ecologique et de la Cohésion des Territoires, Ministère de la Transition Energétique

pour le Luxembourg :

  • Frédéric Durand, chercheur au Luxembourg Institute of Socio-Economic Research

pour le Québec :

  • Michel Rochefort, professeur, département d’études urbaines et touristiques, Université du Québec à Montréal

pour la Suisse :

  • Florent Joerin professeur Haute École spécialisée de Suisse occidentale, Haute École d’Ingénierie et de Gestion du Canton de Vaud, directeur de l’Institut d’ingénierie du territoire

Comité

Michel Rochefort, professeur, département d’études urbaines et touristiques, Université du Québec à Montréal

Partenaires

Université du Québec à Montréal (UQÀM), Chaire internationale sur les usages et pratiques de la ville intelligente

Ville de Montréal